Tel le phénix qui renaît de ses cendres, the P.Ro.Je.C.T. revient aujourd'hui sur le devant de la scène virtuelle, armé des toutes dernières armes disponibles sur la toile, à savoir le Blog et le MMORPG, avec lesquels nous avons fait une sorte de monstre hybride, qu'on pourrait appeler euh... un blorpg ? Oui, enfin, bon, tout ça pour dire qu'on est toujours là et qu'on n'oublie pas notre cher public, fidèle depuis www.chez.com/theproject !

l'équipe de the P.Ro.Je.C.T :

29 novembre 2005

Hired guns... err... claws

Un matin d'automne dans les plaines du sud. Un air frais et vivifiant, idéal pour l'aventure. Ca tombait bien, je devais délester un certain Roogug de son trésor, voire de quelques-uns de ses membres. Le bougre était un coriace, à ce qu'on disait. En bon guerrier, je connaissais ma force, mais aussi mes limites. Je décidai donc de m'adjoindre un ou deux comparses pour cette entreprise. La taverne du Cochon Sanglant, repère d'aventuriers cupides et assoiffés, me paraissait un bon point de départ. Malheureusement, ce jour-là, les candidats étaient trop soûls ou trop gourmands à mon goût. J'avais entendu parler, quelques jours auparavant, d'une boutique en ville qui fournissait des bêtes féroces aux aventuriers cherchant un compagnon fidèle. Après tout, elles me seraient plus loyales que des mercenaires. En entrant chez Crocs en Gros, une sensation de vide me surprit. "Fin des soldes", me renseigna-t'on. Le temps pressait : j'avais appris que Roogug allait bientôt changer de campement. Sans plus attendre, j'achetai donc l'une des dernières caisses de l'animalerie. En y repensant, le prix était étrangement bas pour un client aussi pressé que moi... Mais cette pensée ne m'effleura pas alors que je fourrai la caisse dans mon sac et me dirigeai en hâte vers le campement de Roogug. Après quelques heures de marche et plusieurs bandits liquidés, je me retrouvai en face de mon gibier. Un autre homme se tenait près de lui. Mais je n'étais pas seul non plus. Un sourire vainqueur aux lèvres, je déposai la caisse à mes pieds et l'ouvris.
C'est alors que je me sentis immensément seul...

1 commentaire:

Jérôme a dit…

Et bah, Hired guns, ça veut dire "canons (ou fusils) loués" et c'est le titre d'un jeu, rappelle-toi ("cette fois-ci, on se tire pas dessus"...) ! Et là c'est pas des fusils que j'ai loué, c'est des griffes, des griffes d'écureuil ; mais je pouvais pas barrer le mot guns et... oh, laisse tomber...