Je m'balladais sur l'avenue le coeur ouvert à l'inconnu, c'était un jour comme les autres, je rentrais d'une fructueuse partie de chasse, et alors que je m'apprétais à devaller les quelques routinières marches pour vendre les fruits de cette moisson de coups à un marchand de peu de goût, en descendant les escaliers, je m'aperçu qu'un personnage tronait fièrement sur le toit d'en face... Bizarre...
Et oui bizarre, pour sûr, d'autant plus que l'on ne peut pas y grimper sur ce toit... C'est alors qu'amusé par la situation, je m'écris "chat perché !", et m'empresse d'adjoindre un message direct à ce haut perché, trop fier de cette si fine observation...
Même conscient qu'il sagissait d'un Game Master qui avait très certainement migré vers ce toit car sans doute lassé d'être interpelé à tort et à travers pour des petits rien, même me remémorant mon dernier échange avec un GM qui s'était soldé par un ultimatum pour que je change de nom (je me nommais encore GRRRRRRRRRRRrrrrrrrrrrrr !!!!!!!!! à l'époque et ça n'a duré qu'une journée...), rien n'y faisait, j'avais déja laché se qui me semblait de moins en moins un bon mot puisque mon interlocuteur ne serait pas en mesure de saisir toute la finesse de mon français et que je ne serai pas capable de la lui faire apprécier en anglais... Quand j'ai compris que j'allais m'embourber c'était déja trop tard, je commençais à réfléchir à un nouveau pseudo...
Bref !... S'en suit donc un dialogue de sourd qui a vite tourné court où on s'enfonce, on s'enfonce, et c'est soldé par des excuses... ri-di-cule !
Même conscient qu'il sagissait d'un Game Master qui avait très certainement migré vers ce toit car sans doute lassé d'être interpelé à tort et à travers pour des petits rien, même me remémorant mon dernier échange avec un GM qui s'était soldé par un ultimatum pour que je change de nom (je me nommais encore GRRRRRRRRRRRrrrrrrrrrrrr !!!!!!!!! à l'époque et ça n'a duré qu'une journée...), rien n'y faisait, j'avais déja laché se qui me semblait de moins en moins un bon mot puisque mon interlocuteur ne serait pas en mesure de saisir toute la finesse de mon français et que je ne serai pas capable de la lui faire apprécier en anglais... Quand j'ai compris que j'allais m'embourber c'était déja trop tard, je commençais à réfléchir à un nouveau pseudo...
Bref !... S'en suit donc un dialogue de sourd qui a vite tourné court où on s'enfonce, on s'enfonce, et c'est soldé par des excuses... ri-di-cule !
La morale de cette histoire de chat perché :
Au lieu de jouer à saute mouton sur la barrière du langage, tourne sept fois tes doigts sur ton clavier si tu ne veux pas passer pour un con !