Aaaah World of Warcraft ! Son univers profond, sa facilité d'accès, ses multiples facettes...
Aaaah World of Warcraft. Ses classes uniformisées, ses difficultés gommées, ses kevins de tous âges.
Aaaah World of Warcraft... Son tarif mensuel, sa longévité, son omniprésence...
Bon, on passe à un autre MMORPG ?
Je veux dire, un autre MMORPG qui ne soit pas un clone sans talent de WoW. Alors, voyons ce que l'avenir nous réserve...
En ce qui me concerne, ce qui m'avait séduit dans WoW, c'était de pouvoir incarner un personnage de l'univers de Warcraft, dont les 3 épisodes m'avaient fait passer de très bons moments (surtout le 2). Et il y a justement un candidat se déroulant dans un univers intéressant : Star Wars: The Old Republic sort à la fin de l'année. Oh allez, ne faites pas votre mijaurée, je sais très bien que vous avez déjà rêvé de vous battre au sabre laser ou d'avoir votre R2D2 personnel. J'en vois même un au fond qui a son propre costume de soldat impérial ! Oui, vous là-bas, ne faites pas l'innocent, je suis au courant. En plus, les logos Bioware et LucasArts sur le site officiel sont plutôt rassurants quant à la qualité du jeu à venir...
Mais si vraiment Jar-Jar Binks vous file de l'urticaire ou si vous ne supportez pas l'idée de devoir affronter une armée de kevins en masque rouge et noir avec un sabre-laser double, peut-être devriez-vous essayer autre chose.
Si vous souhaitez rester dans un univers médiéval-fantastique, Guild Wars 2 met vraiment l'eau à la bouche. Finis les PNJ amidonnés coincés sous un porche avec un point d'exclamation flottant tel une auréole au-dessus de leur tête, place aux événement dynamiques ! Oh ! Une colonne de fumée s'élève au loin, allons voir ! C'est un village attaqué par de vilains monstres ! Yaharrh sauvons ces pauvres villageois ! En plus, les récompenses seront partagées par tous les participants au combat, pas besoin de grouper avant, pas de risque de se faire piquer ses monstres... Le bonheur ! Enfin, d'après les développeurs bien sûr... Pas de date de sortie prévue, mais 2012 semble très vraisemblable. J'en salive d'avance !
Mais le MMORPG qui provoque chez moi les espoirs les plus fous et les craintes les plus sombres, celui que j'attends de pied ferme sans vraiment y croire, peut-être la nouvelle arlésienne du jeu vidéo, le remplaçant de Duke Nukem Forever sur le podium des vaporwares, c'est bien sûr le MMORPG issu de la licence mirifique, prolifique, post-apocalyptique... Fallout bien sûr ! Malheureusement, le jeu se résume pour l'instant à une bataille juridique entre studios de développement pour savoir qui aura l'honneur de pondre Fallout Online... Interplay, les créateurs de Fallout 1 et 2 (aaaaaah !) contre Bethesda, celui de Fallout 3 (mmouais...). Je vous laisse deviner qui est mon favori. D'autant que ce qui me plaisait bien dans les combats de Fallout, c'était le système au tour par tour et la visée des parties du corps... Ce que je vois difficilement réalisable en MMO ! Et vous allez sûrement me taxer de vieux réac', mais je préférais la bonne vieille "3D" isométrique des 2 premiers aux graphismes de Bethesda. Espérons que le MMO ne se résumera pas à une chasse aux griffemorts en armure de la Confrérie de l'Acier...
Bref, l'avenir du MMO semble assuré, du moins si les titres annoncés tiennent leurs promesses !
03 août 2011
21 août 2010
Windows 7 a changé ma vie
Avant, sur mon ancien ordi, j'avais Windows XP. J'allumais le PC, il détectait ma connexion à la FreeBox et hop je pouvais lancer mon MMORPG favori. Mais bon, les jeux sont de plus en plus jolis, pas forcément plus intéressants, mais demandent de plus en plus de ressources. Alors soit, j'achète un sac de composants PC, j'ouvre le ventre de mon fidèle compagnon électronique et je procède à la greffe d'un bon nombre de ses organes.
"Carte mère... OK. Processeur... OK. Barrettes de RAM... OK. Disques durs... OK. Reconnexion des anciens composants... OK. Système d'exploitation..."
Ah oui, le système d'exploitation... Bon j'avais lu un comparatif Windows 7 / Ubuntu (dans un magazine Linux il faut avouer) qui donnait Ubuntu gagnant sur tous les points... sauf pour la gestion des jeux. Bon bah, va pour une version OEM de Windows 7 alors...
Allez hop, la galette dans le lecteur, on lance... on attend... oh bah on n'attend pas longtemps en fait, l'installation est rapide, c'est bien ça ! Bon et là qu'est-ce qu'il me dit ? "Réseau domestique facile... blabla... configuration automatique... blabla..."
Ah je peux faire un réseau domestique avec les autres ordis sous Windows 7 ? Hé je viens d'installer ce système d'exploitaition sur le PC de ma chérie, on va pouvoir partager des documents, l'imprimante... OK fais péter le réseau domestique !
"Entrez le code du réseau de l'ordinateur principal" euh oui j'avais noté un code quand j'avais installé l'ordi de ma chérie, où qu'il est ? Pas là... non... ah ! Le voilà. OK, le code c'est booon...
Oui ! Je suis connecté au réseau. Trop facile ! Oh on peut partager des documents ! L'imprimante marche, alors qu'elle est branchée sur l'autre ordi ! Et rien à configurer trop fort Windows 7 !
C'est là que commencèrent 2 semaines de bonheur mmorpgien. Pas plus.
En fait au bout d'environ 2 semaines, je réveille mon ordi qui s'était mis en veille et là paf ! Plus de réseau ! Mince ! "Ouvrir le centre réseau" OK... Comment ça je suis connecté à un réseau public ? Ça me ferait mal, je suis à la maison ! Après moult tatonnements et un redémarrage, tout rentre dans l'ordre... Jusqu'à la prochaine veille. En fait Windaube est régulièrement incapable de reconnaître le réseau, surtout après une sortie de veille. Et même si j'arrive en général à régler le problème sans redémarrer, c'est gonflant.
Il va vraiment falloir que je suive les pas de ce cher PEB et que je passe à Ubuntu...
"Carte mère... OK. Processeur... OK. Barrettes de RAM... OK. Disques durs... OK. Reconnexion des anciens composants... OK. Système d'exploitation..."
Ah oui, le système d'exploitation... Bon j'avais lu un comparatif Windows 7 / Ubuntu (dans un magazine Linux il faut avouer) qui donnait Ubuntu gagnant sur tous les points... sauf pour la gestion des jeux. Bon bah, va pour une version OEM de Windows 7 alors...
Allez hop, la galette dans le lecteur, on lance... on attend... oh bah on n'attend pas longtemps en fait, l'installation est rapide, c'est bien ça ! Bon et là qu'est-ce qu'il me dit ? "Réseau domestique facile... blabla... configuration automatique... blabla..."
Ah je peux faire un réseau domestique avec les autres ordis sous Windows 7 ? Hé je viens d'installer ce système d'exploitaition sur le PC de ma chérie, on va pouvoir partager des documents, l'imprimante... OK fais péter le réseau domestique !
"Entrez le code du réseau de l'ordinateur principal" euh oui j'avais noté un code quand j'avais installé l'ordi de ma chérie, où qu'il est ? Pas là... non... ah ! Le voilà. OK, le code c'est booon...
Oui ! Je suis connecté au réseau. Trop facile ! Oh on peut partager des documents ! L'imprimante marche, alors qu'elle est branchée sur l'autre ordi ! Et rien à configurer trop fort Windows 7 !
C'est là que commencèrent 2 semaines de bonheur mmorpgien. Pas plus.
En fait au bout d'environ 2 semaines, je réveille mon ordi qui s'était mis en veille et là paf ! Plus de réseau ! Mince ! "Ouvrir le centre réseau" OK... Comment ça je suis connecté à un réseau public ? Ça me ferait mal, je suis à la maison ! Après moult tatonnements et un redémarrage, tout rentre dans l'ordre... Jusqu'à la prochaine veille. En fait Windaube est régulièrement incapable de reconnaître le réseau, surtout après une sortie de veille. Et même si j'arrive en général à régler le problème sans redémarrer, c'est gonflant.
Il va vraiment falloir que je suive les pas de ce cher PEB et que je passe à Ubuntu...
22 juillet 2009
La mort est inévitable...
Présentation du jeu hordes.fr
Dans la plupart des mmorpgs, le combat et la mort sont omniprésents, qu'il s'agisse de décimer une colonie de rats, de décapiter d'autres joueurs ou d'affronter un dragon dans son antre. Et le joueur fera bien sûr tout son possible pour que son avatar ressorte victorieux du combat, un échec se traduisant généralement par un décès prématuré de son personnage. Décès qui lui vaudra des désagréments plus ou moins fâcheux selon le mmorpg : qui devra juste faire courir son âme vers son corps, qui se verra retirer une certaine somme d'argent ou même d'expérience.
Or il existe un jeu où la mort est un constat, une fatalité, un dénouement évident. J'ai nommé Hordes.fr. Dans un monde post-apocalyptique, vous incarnez un survivant retranché dans une ville encerclée de zombies assoiffés de sang frais.
Alors bien sûr, ce n'est pas tout à fait un mmorpg puisqu'il lui manque le côté "massively" : vous ne serez que 40 survivants dans chaque ville. Ce n'est pas non plus tout à fait un jeu de rôle tel qu'on l'entend généralement dans le monde vidéo-ludique, puisqu'il n'y a pas réellement de niveau, de points d'expérience ou d'équipement évolutif pour votre personnage. Mais c'est encore un jeu gratuit avec des images fixes auquel vous pourrez jouer au boulot, alors... Et puis après tout, c'est moi qui écris cet article et je fais ce que je veux.
Dans Hordes donc, vous serez relativement tranquille durant la journée pour dépenser vos quelques points d'action à explorer les environs de la ville ou à travailler aux chantiers de celle-ci. Les expéditions à l'extérieur permettront de rapporter divers objets utiles à la communauté, mais attention : les zombies rôdent. La carte est divisée en cases, et il vaudra mieux circuler à plusieurs afin de contrôler les zones où vous vous déplacez : 1 humain peut batifoler tranquillement dans une case avec 2 zombies, mais il faudra 2 humains pour contenir 4 morts-vivants, et ainsi de suite... Vous pourrez toujours en tuer un ou deux, mais les armes sont rares.
Une fois revenu en ville, vous pourrez déposer vos trouvailles dans la banque commune, et les citoyens qui auront choisi de rester au chaud pourront utiliser ce matériel pour construire de nouvelles défenses. Car, si les journées sont relativement paisibles dans Hordes, les nuits sont agitées ! En effet, à minuit pétante, une horde de zombies déferle invariablement contre les murs de la ville (ou par la porte si vous avez eu l'idée stupide de la laisser ouverte, mais dans ce cas vous aurez peu de chances de survivre le lendemain pour blâmer le responsable). Si le score de défenses de la ville est supérieur au nombre de zombies, vous pourrez dormir tranquilles. Sinon, plus l'écart est important, plus vous aurez de morts-vivants qui viendront frapper à votre porte... et là, soyez sûr que certains voisins finiront dans l'estomac des zombies.
Or, détail amusant, chaque nuit les zombies seront plus nombreux : à vous donc de vous organiser au mieux avec les autres citoyens pour construire des défenses de plus en plus performantes. Mais, si les ressources des zombies semblent sans limites, celles de la ville paraissent bien vite atteintes. Il vous faudra donc gérer au mieux le matériel disponible pour construire les bâtiments les plus avantageux sans gaspiller les ressources et surtout, surtout, jouer col-lec-tif ! Mais tout ceci serait bien trop simple si vous n'aviez pas en plus à gérer avec parcimonie les réserves d'eau de la ville : en effet, il est à peu près indispensable de boire au moins 1 jour sur 2, sachant que le fait de boire augmente vos points d'action. Comme la nourriture d'ailleurs, si vous en trouvez... Mais une ville de 40 habitants disposant de 130 rations d'eau, je vous laisse imaginer combien de jours ça peut tenir si on ne fait rien...
Il est à noter qu'à côté des citoyens "classiques", il existe ce que l'on nomme des "héros" : ils disposent d'actions spéciales, de plus de places dans leurs sacs et de certains privilèges. Mais quand je vous aurai dit que la meilleure façon de devenir un héros est de payer, vous conviendrez que nous pourrons directement passer au paragraphe suivant.
Vous l'aurez compris, les attaques de zombies étant chaque jour plus virulentes, la mort est inéluctable. Le but du jeu étant donc de tenir le plus longtemps possible. Et si le record de longévité de ville dépasse les 30 jours, autant vous dire que vous serez heureux si vos premières villes dépassent les 3 jours ! Car si la survie passe par un jeu collectif, il y a toujours du monde pour gaspiller les ressources de la ville dans des constructions inutiles, voire pour ouvrir les portes 10 min avant l'attaque... Mais rassurez-vous, vos exploits passés seront conservés dans votre onglet "âme" et vous disposerez d'un score d'âme qui augmentera au fur et à mesure des villes visitées... jusqu'à atteindre la barrière tant désirée des 100 points, qui vous permettra de ne jouer qu'avec des personnes ayant également dépassé ce score et donc, en théorie, de ne plus croiser de cette fameuse espèce, fléau de tous les mmorpgs : les noobs.
Dans la plupart des mmorpgs, le combat et la mort sont omniprésents, qu'il s'agisse de décimer une colonie de rats, de décapiter d'autres joueurs ou d'affronter un dragon dans son antre. Et le joueur fera bien sûr tout son possible pour que son avatar ressorte victorieux du combat, un échec se traduisant généralement par un décès prématuré de son personnage. Décès qui lui vaudra des désagréments plus ou moins fâcheux selon le mmorpg : qui devra juste faire courir son âme vers son corps, qui se verra retirer une certaine somme d'argent ou même d'expérience.
Or il existe un jeu où la mort est un constat, une fatalité, un dénouement évident. J'ai nommé Hordes.fr. Dans un monde post-apocalyptique, vous incarnez un survivant retranché dans une ville encerclée de zombies assoiffés de sang frais.
Alors bien sûr, ce n'est pas tout à fait un mmorpg puisqu'il lui manque le côté "massively" : vous ne serez que 40 survivants dans chaque ville. Ce n'est pas non plus tout à fait un jeu de rôle tel qu'on l'entend généralement dans le monde vidéo-ludique, puisqu'il n'y a pas réellement de niveau, de points d'expérience ou d'équipement évolutif pour votre personnage. Mais c'est encore un jeu gratuit avec des images fixes auquel vous pourrez jouer au boulot, alors... Et puis après tout, c'est moi qui écris cet article et je fais ce que je veux.
Dans Hordes donc, vous serez relativement tranquille durant la journée pour dépenser vos quelques points d'action à explorer les environs de la ville ou à travailler aux chantiers de celle-ci. Les expéditions à l'extérieur permettront de rapporter divers objets utiles à la communauté, mais attention : les zombies rôdent. La carte est divisée en cases, et il vaudra mieux circuler à plusieurs afin de contrôler les zones où vous vous déplacez : 1 humain peut batifoler tranquillement dans une case avec 2 zombies, mais il faudra 2 humains pour contenir 4 morts-vivants, et ainsi de suite... Vous pourrez toujours en tuer un ou deux, mais les armes sont rares.
Une fois revenu en ville, vous pourrez déposer vos trouvailles dans la banque commune, et les citoyens qui auront choisi de rester au chaud pourront utiliser ce matériel pour construire de nouvelles défenses. Car, si les journées sont relativement paisibles dans Hordes, les nuits sont agitées ! En effet, à minuit pétante, une horde de zombies déferle invariablement contre les murs de la ville (ou par la porte si vous avez eu l'idée stupide de la laisser ouverte, mais dans ce cas vous aurez peu de chances de survivre le lendemain pour blâmer le responsable). Si le score de défenses de la ville est supérieur au nombre de zombies, vous pourrez dormir tranquilles. Sinon, plus l'écart est important, plus vous aurez de morts-vivants qui viendront frapper à votre porte... et là, soyez sûr que certains voisins finiront dans l'estomac des zombies.
Or, détail amusant, chaque nuit les zombies seront plus nombreux : à vous donc de vous organiser au mieux avec les autres citoyens pour construire des défenses de plus en plus performantes. Mais, si les ressources des zombies semblent sans limites, celles de la ville paraissent bien vite atteintes. Il vous faudra donc gérer au mieux le matériel disponible pour construire les bâtiments les plus avantageux sans gaspiller les ressources et surtout, surtout, jouer col-lec-tif ! Mais tout ceci serait bien trop simple si vous n'aviez pas en plus à gérer avec parcimonie les réserves d'eau de la ville : en effet, il est à peu près indispensable de boire au moins 1 jour sur 2, sachant que le fait de boire augmente vos points d'action. Comme la nourriture d'ailleurs, si vous en trouvez... Mais une ville de 40 habitants disposant de 130 rations d'eau, je vous laisse imaginer combien de jours ça peut tenir si on ne fait rien...
Il est à noter qu'à côté des citoyens "classiques", il existe ce que l'on nomme des "héros" : ils disposent d'actions spéciales, de plus de places dans leurs sacs et de certains privilèges. Mais quand je vous aurai dit que la meilleure façon de devenir un héros est de payer, vous conviendrez que nous pourrons directement passer au paragraphe suivant.
Vous l'aurez compris, les attaques de zombies étant chaque jour plus virulentes, la mort est inéluctable. Le but du jeu étant donc de tenir le plus longtemps possible. Et si le record de longévité de ville dépasse les 30 jours, autant vous dire que vous serez heureux si vos premières villes dépassent les 3 jours ! Car si la survie passe par un jeu collectif, il y a toujours du monde pour gaspiller les ressources de la ville dans des constructions inutiles, voire pour ouvrir les portes 10 min avant l'attaque... Mais rassurez-vous, vos exploits passés seront conservés dans votre onglet "âme" et vous disposerez d'un score d'âme qui augmentera au fur et à mesure des villes visitées... jusqu'à atteindre la barrière tant désirée des 100 points, qui vous permettra de ne jouer qu'avec des personnes ayant également dépassé ce score et donc, en théorie, de ne plus croiser de cette fameuse espèce, fléau de tous les mmorpgs : les noobs.
22 décembre 2008
27 août 2008
Trouvez le mmorpg qui vous correspond !
Les mmorpg, c'est un peu comme les nanotechnologies : tout le monde en parle mais personne ne sait vraiment à quoi ça sert. Pourtant, comme tous les concepts à la mode, chacun veut s'y mettre pour grappiller des miettes du gâteau. Parce qu'il faut bien le dire, dans les deux cas, c'est un sacré gros gâteau ! Qui peut d'ailleurs se révéler assez indigeste quand on le mange à toutes les sauces ! C'est pourquoi, en fins gourmets, les membres du P.Ro.Je.C.T. ne sélectionnent que la crème de la crème pour vous proposer la meilleure expérience possible en terme de nanotechnologies. Euh... de mmorpg.
Vous avez été séduits par les graphismes cartoon, la richesse de l'univers et la polyvalence de World of Warcraft ? Oui, mais vous n'aimez pas l'idée de payer tous les mois ou vous détestez suivre la tendance...
Alors vous aurez été conquis par Planeshift, un mmorpg gratuit et tournant sous linux ? Trop moche ? Euh oui, c'est vrai, bon alors Regnum online ? C'est pas mal, mais vous parlez anglais comme une vache espagnole, ou vice versa, et puis de toutes façons c'est trop chronophage, vous avez une vie sociale, qu'est-ce que vous croyez mon bon Monsieur.
Soit, soit. Vous êtes un coriace, hein ? Alors je vais vous parler d'un jeu qui ne vous prendra que quelques minutes par jour, en français, et vous laissera tout le loisir de regarder Secret Story ou de feuilleter Tuning Magazine. Je vais vous parler d'un jeu apparu à l'époque où Ultima Online, Everquest et Asheron's Call étaient quasiment les seuls concurrents du marché du mmorpg. D'un jeu auquel vous pourrez jouer sur n'importe quelle machine, voire au boulot ou même sur un PDA. D'un jeu qui stimulera votre imagination. Je vais vous parler de Mountyhall.
Créé en 2001, "MountyHall est un jeu de rôles et d'aventures en ligne permettant aux participants d'incarner un Troll en quête d'aventures. Le jeu se déroule en tour-par-tour d'une durée de 12 heures durant lesquelles les joueurs peuvent faire agir leur Troll en dépensant jusqu'à 6 Points d'Actions." C'est ce que dit le site, www.mountyhall.com, et je dois dire que ça résume bien la situation. En pratique, vous ne resterez pas collé 12h devant votre écran, car vous pourrez jouer vos 6 points d'action en 5 minutes et attendre votre prochaine DLA (date limite d'action). Ce qui vous fait jouer 2 fois 5 minutes par jour, ce qui, avouez-le, n'est pas énorme.
Et pourtant, le jeu est très prenant ! Passés les premiers jours à vous balader dans le hall (le monde) en vous ennuyant un peu, vous trouverez votre premier monstre pour votre premier combat épique (bah ça va durer plusieurs jours, hein !) et ramasserez quelques pièces d'armure délaissées par d'autre trolls avant vous. Habillé de bric et de broc, vous gagnerez vos premiers niveaux et pourrez commencer à améliorer vos compétences ou apprendre de nouveaux talents, généralement en fonction de la race que vous avez choisie au départ parmi 4 trolls. Chaque race possède un talent particulier, mais vous aurez toute liberté sur l'évolution future de votre troll et sur la façon de le jouer. Taperez-vous sur les monstres ou sur d'autres trolls ? Utiliserez-vous la magie ou une bonne grosse massue ? Quelle personnalité donnerez-vous à votre troll ? Car le roleplay est bien représenté dans la communauté des joueurs et beaucoup développent une histoire pour leur troll ou leur guilde (notons au passage qu'il existe un seul serveur pour Mountyhall et donc que tous les joueurs se retrouvent dans le même monde). Il faut dire que l'imagination des joueurs est mise à contribution.
En effet, ici point de moteur 3D mirobolant, de polygones chatoyants ou même de personnages chamarrés. Tout se passe au travers d'une interface textuelle, et votre position ainsi que celle des monstres ou des autres trolls sera indiquée au moyen de coordonnées cartésiennes. Tout au plus aurez vous droit à un petit dessin de temps en temps à côté de la description d'un monstre. Mais nous savons tous, depuis Tetris ou Lemmings, que l'intérêt d'un jeu ne réside pas dans sa qualité graphique. Mountyhall en est un autre exemple prenant, et la vastitude du monde, la diversité des monstres et des compétences à choisir en font un mmorpg des plus passionnants, surtout pour ceux qui ont peu de temps à leur consacrer !
Vous avez été séduits par les graphismes cartoon, la richesse de l'univers et la polyvalence de World of Warcraft ? Oui, mais vous n'aimez pas l'idée de payer tous les mois ou vous détestez suivre la tendance...
Alors vous aurez été conquis par Planeshift, un mmorpg gratuit et tournant sous linux ? Trop moche ? Euh oui, c'est vrai, bon alors Regnum online ? C'est pas mal, mais vous parlez anglais comme une vache espagnole, ou vice versa, et puis de toutes façons c'est trop chronophage, vous avez une vie sociale, qu'est-ce que vous croyez mon bon Monsieur.
Soit, soit. Vous êtes un coriace, hein ? Alors je vais vous parler d'un jeu qui ne vous prendra que quelques minutes par jour, en français, et vous laissera tout le loisir de regarder Secret Story ou de feuilleter Tuning Magazine. Je vais vous parler d'un jeu apparu à l'époque où Ultima Online, Everquest et Asheron's Call étaient quasiment les seuls concurrents du marché du mmorpg. D'un jeu auquel vous pourrez jouer sur n'importe quelle machine, voire au boulot ou même sur un PDA. D'un jeu qui stimulera votre imagination. Je vais vous parler de Mountyhall.
Créé en 2001, "MountyHall est un jeu de rôles et d'aventures en ligne permettant aux participants d'incarner un Troll en quête d'aventures. Le jeu se déroule en tour-par-tour d'une durée de 12 heures durant lesquelles les joueurs peuvent faire agir leur Troll en dépensant jusqu'à 6 Points d'Actions." C'est ce que dit le site, www.mountyhall.com, et je dois dire que ça résume bien la situation. En pratique, vous ne resterez pas collé 12h devant votre écran, car vous pourrez jouer vos 6 points d'action en 5 minutes et attendre votre prochaine DLA (date limite d'action). Ce qui vous fait jouer 2 fois 5 minutes par jour, ce qui, avouez-le, n'est pas énorme.
Et pourtant, le jeu est très prenant ! Passés les premiers jours à vous balader dans le hall (le monde) en vous ennuyant un peu, vous trouverez votre premier monstre pour votre premier combat épique (bah ça va durer plusieurs jours, hein !) et ramasserez quelques pièces d'armure délaissées par d'autre trolls avant vous. Habillé de bric et de broc, vous gagnerez vos premiers niveaux et pourrez commencer à améliorer vos compétences ou apprendre de nouveaux talents, généralement en fonction de la race que vous avez choisie au départ parmi 4 trolls. Chaque race possède un talent particulier, mais vous aurez toute liberté sur l'évolution future de votre troll et sur la façon de le jouer. Taperez-vous sur les monstres ou sur d'autres trolls ? Utiliserez-vous la magie ou une bonne grosse massue ? Quelle personnalité donnerez-vous à votre troll ? Car le roleplay est bien représenté dans la communauté des joueurs et beaucoup développent une histoire pour leur troll ou leur guilde (notons au passage qu'il existe un seul serveur pour Mountyhall et donc que tous les joueurs se retrouvent dans le même monde). Il faut dire que l'imagination des joueurs est mise à contribution.
En effet, ici point de moteur 3D mirobolant, de polygones chatoyants ou même de personnages chamarrés. Tout se passe au travers d'une interface textuelle, et votre position ainsi que celle des monstres ou des autres trolls sera indiquée au moyen de coordonnées cartésiennes. Tout au plus aurez vous droit à un petit dessin de temps en temps à côté de la description d'un monstre. Mais nous savons tous, depuis Tetris ou Lemmings, que l'intérêt d'un jeu ne réside pas dans sa qualité graphique. Mountyhall en est un autre exemple prenant, et la vastitude du monde, la diversité des monstres et des compétences à choisir en font un mmorpg des plus passionnants, surtout pour ceux qui ont peu de temps à leur consacrer !
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